Turkish Airlines : Surf sur la vague Comics

Turkish Airlines, une des principales compagnies mondiales en terme de trafic et d’influence, à lancé, à l’occasion du célèbre « Super Bowl » américain,une publicité s’adressant aux fans de comics, ces bandes dessinées mettant en scène des super-héros, lors des pubs du Super Bowl (où les prix montent à des sommes faramineuses en raison de l’énorme visibilité du Show).

Cette publicité met en scène les héros de DC Comics, Batman (et dans une vidéo jumelle, Superman), et à profité de la sortie mondiale du Film « Batman VS Superman », afin de proposer à ses clients les destinations de fiction présentes dans le film, les célèbres « Metropolis » et « Gotham ». Cette pub a rencontré un fort succès, de nombreuses personnes essayant même d’acheter des billets !

Un coup de maître de la part de la Turkish Airlines.

 

McDonald’s : I’m eating it ! (3/4)

McDonald’s, l’entreprise américaine bien connue, a subi durant les années 2010 plusieurs accusations de fraude fiscale, dont la dernière en janvier 2015.

Rapide historique :

2014, McDonald’s soupçonné de fraude fiscale pour 2,2 milliards d’euros en France.
Février 2015, de nouvelles accusations de montage financier.

Ces procès sont en cours, mais il est à signaler que ce genre de montages financiers flirtent avec la légalité, et sont pratiqués par de nombreuses entreprises.

Pour continuer sur le mode de fonctionnement de McDonald’s, il repose sur la franchisation, c’est à dire la « location » de la licence McDonald’s à un exploitant qui lui renverse des recettes en échange du nom de la marque. Ce système permet d’ailleurs d’éviter certains impôts à la marque de Ronald McDonald.

Enfin, et évidemment, la stratégie de McDonald’s repose sur l’internationalisation : 36258 restaurants McDonald’s à travers le monde, dans plus de 150 pays.

Le premier restaurant McDonald’s hors des Etats-Unis a ouvert en 1970 au Costa Rica.

The bear

 

Ceci est une campagne de notoriété : Canal + promeut sa chaine et incite les téléspectateurs à s’inscrire chez eux avec ce slogan de fin « The more you watch CANAL +, the more you love cinema ».

Canal + communique ici pour atteindre des objectifs affectifs : cette publicité montre la réalisation d’un film de chevaliers où nombreux d’entre eux meurent, d’ailleurs l’ours le réalisateur demande toujours plus de sang dans le montage, le scénario etc… C’est donc dans l’optique de toucher le spectateur. Puis en voyant une publicité réalisé à la qualité d’un film, celle-ci peut avoir un objectif conatif avec le slogan de fin qui pousserait le spectateur à s’inscrire directement chez Canal+.

Cette publicité a surtout pour but de se tenir présent à l’écran, inscrit ou non. C’est une publicité « pour le plaisir ».

Concernant la perception de la marque, Canal + est considéré comme une marque de luxe de chaine de télévision. En effet, elle propose un grand choix de films parus au cinéma généralement 1 an auparavant.

Ici, la promesse que fait Canal + est que la boite permet à son audience de voir de nombreux films tous aussi variés les uns que les autres et que plus ils en regarderont, plus ils seront mordus de cinéma de part cette variété. Pour souligner cela, ils montrent un ours si fan de cinéma qu’il a pu suite à cela, devenir réalisateur. Ce qui montre que si un ours peut le faire, tout le monde peut le faire. En ce sens, ils considèrent que n’importe qui peut s’inscrire à Canal + et qu’il est accessible a tous de profiter du vrai cinéma.

Ici, la boite de production 75 a choisi d’employer un ton professionnel dévoilant le travail d’un réalisateur ; mais également un ton assez fun dans le sens où ce réalisateur est en fait une carpette qui se tient devant la télévision.

 

Apple, la com’ derrière la pomme (3/4)

Apple est de ces marques qui ont réussi le pari de pouvoir se représenter, s’auto-promouvoir par leurs simples visuels, voir leurs simples identités graphiques. L’une des particularité de la marque à la pomme, et ce même bien avant le retour de Steve Jobs, est la continuité et l’évidence de son design. On peut parler de branding dans la façon qu’a la marque de construire son identité tant à travers ses produits qu’à travers ses publicités.

Mais au fait, quels sont les repères simples de la marque, et que cachent-ils ?

1. La couleur blanche inhérente à la marque

Le blanc est l’indice d’identité le plus évident de cette marque. La symbolique de cette couleur est facile d’accès, donc compréhensible, au moins inconsciemment, par n’importe quel public. On y devine la pureté, l’élégance, et on accorde sa confiance au produit blanc.

Ce blanc, ce n’est pas seulement la couleur d’un Macbook Pro ou de la plupart des iphones, c’est aussi la principale couleur de fond des publicités liées à la marque. Ainsi, on repère assez directement un « instant » Apple, tout autant qu’un produit de la même enseigne.

2. La sobriété d’un design

Ce n’est pas uniquement par goût que la marque à la pomme a normalisé ses formes sobres, épurées, simples. Les bords arrondis des tablettes et smartphones sont autant de représentation de la douceur souhaitée comme une identité par la marque. Il ne s’agit donc pas que d’une volonté artistique, purement liée au design : la forme de nos téléphones nous permet de nous familiariser avec eux tout aussi consciemment qu’inconsciemment. Apercevoir cette forme arrondie et sobre, c’est avoir en face de soi un objet en apparence très simple d’utilisation et parfaitement pacifique.

 

McDonald’s : I’m eating it ! (1/4)

En 1937, les frères Richard et Maurice McDonald ouvrent un stand de hot-dogs appelé « Airdome » en Californie puis déménagent en 1940 dan se même état, et le renomment « restaurant McDonald’s ». Le menu consiste en 25 articles, principalement cuisinés au grill. Il devint un lieu de rendez-vous très populaire pour les jeunes, et très profitable pour ses propriétaires. Huit années plus tard, après avoir remarqué que la plupart de leurs revenus provenaient des hamburgers, les deux frères fermèrent leur restaurant pour plusieurs mois afin de développer un système innovant le système de service rapide.

878a12f16971e979dd04e70a87592d22Le logo McDonald’s baptisé les « arches dorées » est créé en 1962 par Jim Schindler, responsable à l’époque de l’ingénierie de conception à McDonald’s. Il s’inspire des deux arches jaunes de la façade du tout premier restaurant McDonald’s à Phoenix. Jim Schindler rassemble les deux arches pour en faire un « M ». McDonald’s France fait le choix à partir de 2009 de changer son image en intégrant le logo dans un encadré vert foncé pour un côté développement durable. Cette nouvelle formule est une réussite marketing.

 

McDonald’s est une multinationale qui possède fin 2014, 36 258 réseaux commerciaux rapides sous la marque McDonald’s. C’est une entreprise présente dans les plus grandes métropoles mondiales. La recherche constante de carrefours stratégiques, non loin du cœur névralgique des villes, peut donner l’image d’une pollution visuelle qui dénature le centre historique des villes. Sans compter que McDonald’s est considéré comme un des signes flagrants de l’hégémonie américaine. A contrario, McDonald’s a entamé depuis le milieu des années 1990 une « régionalisation » de ses restaurants (dont ses franchises) de par le monde. La France compte 1 285 restaurants et est l’un des marchés les plus dynamiques. En 2011, la France est le pays le plus rentable du monde après les États-Unis. L’avantage pour le client étant l’absence d’attente en heure de pointe. En février 2012 est mis en place « GoMcDo » qui consiste à prépayer des commandes via internet par ordinateur ou smartphone.

Starbucks : Il n’y a qu’à ferrer le client (3/4)

Starbucks a établit une relation avec son client très importante et les communicants le démontrent bien à travers leurs stratégies commerciales et notamment avec ces pubs.
En effet dans cette première pub, Starbucks joue sur l’universalité de ses clients, le géant mondial du café veut toucher son public en montrant à quel point ce n’est pas seulement un endroit pour déguster un café mais aussi un lieu chaleureux et bienveillant.
De plus la multinationale est dans une logique d’émancipation internationale puisque ce clip a été tourné dans 28 pays en un seul jour. Avec le côté générationnel, Starbucks s’impose comme le lieu de rendez vous de toute classe sociale (enfants, vieillards, jeunes…) malgré quelques prix parfois luxueux pour un simple café.

 

Pour cette deuxième publicité de la marque, Starbucks veut engager une relation de confiance avec son client, Lire la suite

« Don’t be evil » – Google 4/4

Cela fait déjà longtemps que Google n’est plus qu’un simple moteur de recherche. La petite entreprise des débuts du web a laissé place à une grande firme transnational : Alphabet. Créé en 2015, Alphabet a permis à Google de répartir les risques entre ces différentes filiales et de faire de l’optimisation fiscal. Mais Alphabet nous permet également de mieux appréhender les stratégies de Google et clarifie les projets futurs de l’entreprise. Lire la suite

Leclerc, une entreprise frontale (2/4)

La stratégie de communication de l’entreprise Leclerc semble suivre le caractère de Michel-Édouard Leclerc, c’est à dire une campagne basée sur une approche directe vers le consommateur.

Il s’agit pour ce groupe de se distinguer des autres enseignes de la grande distribution par leur volonté de défendre le pouvoir d’achat du consommateur en n’hésitant pas à comparer frontalement les prix des autres marques, usant de la répétition et allant jusqu’au matraquage publicitaire.

Leclerc se présente donc comme l’entreprise qui comprend le consommateur, qui l’aide en lui fournissant toujours le prix le plus bas à travers ses campagnes publicitaires. On peut retrouver cette optique dans la campagne publicitaire de 2013 ou Leclerc présente un monde anxiogène et où ce dernier deviendrait la solution en apportant une échappatoire.

comment ca « blouge » c’est quoi?…

Dans le cadre d’une communication grand public, la célèbre marque allemande Volkswagen créée le concept de fusion des noms de ses modèles, afin d’illustrer la difficulté lors du choix. Ici « Tourolf » « Golfinelle » ou « Blouge » arriment le spectateur par le biais du comique, encre le concept profond dans les esprits. On se surprend à en rire des heures après. Ici on peut parler de  l’utilisation du schéma de Sannon et Weaver, qui montre le passage d’un message et la réverbération de celui-ci par le récepteur.